Salut à tous,
J'ai entrepris d'apprendre le soudage TIG dans le cadre de mon travail, en plus de l'électrode enrobée que je manie depuis longtemps.
Je ne suis pas soudeur à proprement parler mais je soude beaucoup, et à l'image de ce que je fais en MMA, mes soudures doivent être aussi irréprochables que possible, tant au niveau de la résistance que de l'esthétique.
Bien que futurement amené à surtout souder en angle, comme j'aime bien prendre les choses dans l'ordre et ne pas griller les étapes, j'ai commencé par le bout à bout de tôles d'épaisseurs correspondant à ce que j'utilise en général, soit entre 2 et 4mm, en acier laminé à chaud la plupart du temps.
J'ai donc épluché une pilée de sites, écrits, vidéos, mais impossible de trouver certaines infos, et par ailleurs, certaines me semblent contradictoires ; de ce fait, me voici !
La plupart des infos françaises que j'ai trouvées préconisent 30A par millimètre de métal de base... Or, aux USA, tous les tutos (très nombreux) que j'ai trouvés sur le sujet, préconisent 40A par millimètre...! Ce qui, pour du 3mm par exemple, nous fait passer de 90A en France à... 120A aux USA... hum... auraient ils des ampères différentes de chez nous??
Dans le même ordre d'idée, ils préconisent, toujours pour de la 3mm, un chanfrein à 30° et un espacement de 2mm, alors qu'en France, les données que j'ai trouvées préconisent juste un écart de 1,5mm, sans chanfrein.
J'ai donc essayé les deux réglages et voici mes conclusions (je m'entraine sur du plat de 3mm x 30mm de large x 200mm de long, soigneusement décalaminé) :
VERSION FRANÇAISE - 30A/mm soit 85 à 90A + pas de chanfrein + espace de 1,5mm + apport 2,4mm + tungstène 2mm + argon @ 9L/min.
>> J'arrive à peu près contrôler mon bain et mes cordons commencent à être corrects. En revanche ma vitesse est lente, je chauffe davantage mon métal de base.
Bien que mes cordons verso sont impec, légèrement bombés mais pas trop, mes cordons recto ont une forte tendance à être à ras du métal de base, je ne parviens pas à les faire "gonfler" un peu.
Si je ralentis je perds la pleine pénétration.
VERSION RICAINE - 40A/mm soit 105 à 120A + chanfrein à 30° + espace de 2mm + apport 2,4mm + tungstène 2mm + + argon @ 9L/min.
>> Délirant !!! Ça bombarde beaucoup trop, et si j’accélère mon avance + dépose de métal d'apport, la pénétration reste trop importante, et les stries de mon cordon recto ont une forme "en pointe" et non rondes qui indiquent, si j'ai bien tout compris, que mon avance est trop rapide.
Je précise que je parviens sans souci à conserver un arc court (entre 0,5 et 1mm en général), et que mon agle de torche est correct.
--->>> Question 1 : jusqu’à quelle épaisseur peut-on prétendre souder en pleine pénétration et en une seule passe tout en obtenant un cordon recto et un cordon verso corrects et suffisants en épaisseur ?
--->>> Question 2 : quel aspect est on, dans l'idéal, sensé rechercher au niveau des cordons recto ? Légèrement bombés ? Plats? J'ai les docs et la norme concernant les défauts et ce qu'on ne doit pas obtenir, mais je ne trouve nulle-part... ce que l'on doit rechercher idéalement à ce sujet !
En revanche j'ai plus d'infos concernant les soudures en angle.
--->>> Question 3 : quels réglages préconisez-vous donc pour ce cas de figure par exemple ? Sauce française? Sauce US ?
--->>> Question 4 : comment font les ricains pour obtenir des cordons aussi parfaits avec de tels réglages ?!?!?! Je parle de mecs qui sont soudeurs pros, instructeurs et cie ! J'ai reproduit réglages, geste, vitesse, mais gros bide. Sur les vidéos, les mecs avancent plutôt vite mais ils font des "perles" parfaites", légèrement bombées, pénétration parfaite, franchement je ne comprends pas...
Merci ++++++++++
salut
j'avais un formateur de soudage qui nous apprenait selon la norme et la procédure en vigeur ds l IWS
puis il poussait la sauce et nous faisait un démo de son potentiel ,ça fait le même effet que si tu fais une sortie vélo avec Péter Sagan
je viserais entre les deux tu gardes ton jeu de 1.5 mm tu fais un léger chanfrein et tu montes à 100A
à l essai tu ajustes ton intensité en fonction de ta vitesse d avance ou l inverse pour avoir le rendu souhaité
Envoyé par mecanix
salut
j'avais un formateur de soudage qui nous apprenait selon la norme et la procédure en vigeur ds l IWS
puis il poussait la sauce et nous faisait un démo de son potentiel ,ça fait le même effet que si tu fais une sortie vélo avec Péter Sagan
je viserais entre les deux tu gardes ton jeu de 1.5 mm tu fais un léger chanfrein et tu montes à 100A
à l essai tu ajustes ton intensité en fonction de ta vitesse d avance ou l inverse pour avoir le rendu souhaité
Merci Mecanix pour ta réponse. Je vais faire cela tout de go et voir ce que ça donne...
Je me questionne néanmoins toujours sur deux choses :
- Lorsque je soude à 85A, est-ce une bonne idée du moment que ça fonctionne, ou est-ce que je chauffe trop ma pièce (non pas en quantité de chaleur, mais en durée) ? Ne devrais-je donc pas souder plus haut en intensité (les 100A que tu m'indiques) pour chauffer moins longtemps, ou bien tout cela revient finalement au même?
- Comment font les ricains que j'ai vus (ou ton formateur) pour assumer tant de puissance avec autant de jeu et de chanfrein sans foirer une seule chose dans leurs cordons (sans aller trop vite, sans trop pénétrer...)??
- Un cordon endroit peut-il être plat ou doit-il obligatoirement être légèrement bombé ?
(Bon cela fait trois questions au lieu de deux!)
mon formateur il cavalait tellement vite que tu avais du mal à suivre le mouvement
effectivement tu apportes plus de calories qui ont le temps de se diffuser dans la pièce si tu soudes trop bas en intensité
pour mon formateur je ne parlais pas forcément de ce type d assemblage
de tête sans trop réfléchir je démarrerais à 100A pour souder du plat de 3mm
il y aura aussi une différence quand tu passera à l'application sur la pièce finale qui aura plus de volume j'imagine
il faut peu être que tu nourrisses un peu vite plus ton bain si tu veux un cordon plus bombé
Envoyé par mecanix
mon formateur il cavalait tellement vite que tu avais du mal à suivre le mouvement
effectivement tu apportes plus de calories qui ont le temps de se diffuser dans la pièce si tu soudes trop bas en intensité
pour mon formateur je ne parlais pas forcément de ce type d assemblage
de tête sans trop réfléchir je démarrerais à 100A pour souder du plat de 3mm
il y aura aussi une différence quand tu passera à l'application sur la pièce finale qui aura plus de volume j'imagine
il faut peu être que tu nourrisses un peu vite plus ton bain si tu veux un cordon plus bombé
Bien noté merci ! Concernant le bombé du cordon, est-ce une obligation vis à vis des normes idéales d'avoir un léger bombé ? Ou un cordon plat (pas concave bien entendu) est-il conforme à ce que l'on doit attendre d'une soudure TIG?
techniquement pour moi si tu as le pleine pénétration ,un cordon envers correct et pas de morsures, caniveau, manque de remplissage ,c'est bon
mais si c'est dans un contexte encadré:réservoir ou canalisation sous pression par exemple
il faudra te référer au cahier des charges de la dite application voir dmos qmos relatif et la je ne peux en dire plus
je n'ai pas pratiqué en entreprise ,
Envoyé par mecanix
techniquement pour moi si tu as le pleine pénétration ,un cordon envers correct et pas de morsures, caniveau, manque de remplissage ,c'est bon
mais si c'est dans un contexte encadré:réservoir ou canalisation sous pression par exemple
il faudra te référer au cahier des charges de la dite application voir dmos qmos relatif et la je ne peux en dire plus
je n'ai pas pratiqué en entreprise ,
Dac... je ne suis pas non-plus en entreprise mais artisan, je n'aurai donc pas de DMOS à respecter si ce n'est celui du bon sens et de résistances suffisantes pour les assemblages que j'ai à faire. C'est pour cela que je préfère me former le plus rigoureusement possible, et d'où mes questions.
Je te remercie à nouveau et vais reprendre sur la base de 100A avec un léger chanfrein et 1,5mm d'écart et bombarder davantage ! Enfin dès que j'aurai reçu ma nouvelle bouteille d'argon, la dernière a rendu l'âme hier soir après nos message !
Envoyé par mecanix
techniquement pour moi si tu as le pleine pénétration ,un cordon envers correct et pas de morsures, caniveau, manque de remplissage ,c'est bon
mais si c'est dans un contexte encadré:réservoir ou canalisation sous pression par exemple
il faudra te référer au cahier des charges de la dite application voir dmos qmos relatif et la je ne peux en dire plus
je n'ai pas pratiqué en entreprise ,
Je repense à un truc :est-ce que mes 85A sont déconnant ou bien finalement en accord avec le fait que je soude des plaquettes de 200mm x 30mm en 3mm d'épais (absorption de la chaleur très rapide et très peu de diffusion) ? Ou bien dois-je dans tous les cas considérer que 100A restent une base même sur de petites pièces de ce genre ?
en réfléchissant et en creusant dans mes souvenirs je ne penses pas que l on faisait de chanfrein sur du trois
est ce que ton plat est un laminé que tu décapes ou de la tôle coupé à la guillotine
le laminé est déjà arrondi sur les bords des 2 cotés
quand je soude quelque soit le procédé je ne m arrête pas à ce qui est écrit sur l afficheur (certainement parce qu'avant il n'y en avait pas )
tes pièces à construire en définitive fond 3 ou 4mm ,ça fait 33% de plus
je modifie ce que j'ai dit plus haut:
j'essayerai sans chanfrein avec plus de sauce qui a revenir un peu en arrière si c'est trop fort
ps:perso je suis un adepte du semi auto
le secret c'est de savoir faire avancer correctement son métal d'apport pendant toute la durée du soudage. Je sais que la mode est en ce moment de poser dans le bain son métal d'apport et de tartiner avec la torche . ça ça marche sur le forte épaisseurs et en mettant un écartement important. Mais pas trop sur du plus fin et du sans écartement. En TIG acier et inox il y a une combine pour voir si effectivement on est en train de pénétrer : la goutte.
C'est un point brillant qui se voit sur le bain de fusion, probablement le reflet de la pointe de tungstène sur le bain de fusion. Si ce point est fixe, vous ne pénétrez pas, si vous le voyez tourner vous pénétrez.
Envoyé par mecanix
en réfléchissant et en creusant dans mes souvenirs je ne penses pas que l on faisait de chanfrein sur du trois
est ce que ton plat est un laminé que tu décapes ou de la tôle coupé à la guillotine
le laminé est déjà arrondi sur les bords des 2 cotés
quand je soude quelque soit le procédé je ne m arrête pas à ce qui est écrit sur l afficheur (certainement parce qu'avant il n'y en avait pas )
tes pièces à construire en définitive fond 3 ou 4mm ,ça fait 33% de plus
je modifie ce que j'ai dit plus haut:
j'essayerai sans chanfrein avec plus de sauce qui a revenir un peu en arrière si c'est trop fort
ps:perso je suis un adepte du semi auto
Hello Mecanix,
Pour te répondre, je m'entraine sur du laminé à chaud, moins cher et surtout plus facile à trouver.
Je le décape au disque à lamelles, faces comme tranches, tranches que je ramène à 90° en gommant parfaitement les arrondis qui sont à mon sens plus trompeurs qu'autre chose dans l'apprentissage. Autant en MMA cela me gène moins, autant je trouve que la précision exigée du TIG justifie que je cleane cela au maximum. Puis ça me permet de verrouiller quelque chose de standard, applicable sur du laminé à froid me dis-je...
Donc tu préconiserais plutôt sans chanfrein... mais avec un écart tout de même ? Si oui de combien à vue de nez ?
(Pour le semi-auto, je n'ai toujours pas sauté le pas, notamment par rapport au fait qu'il me faudrait un contrat argon supplémentaire en plus de celui souscrit pour le TIG... mais c'est tellement intéressant que je vais bien finir par m'y mettre!! )...
Envoyé par tungstene
le secret c'est de savoir faire avancer correctement son métal d'apport pendant toute la durée du soudage. Je sais que la mode est en ce moment de poser dans le bain son métal d'apport et de tartiner avec la torche . ça ça marche sur le forte épaisseurs et en mettant un écartement important. Mais pas trop sur du plus fin et du sans écartement. En TIG acier et inox il y a une combine pour voir si effectivement on est en train de pénétrer : la goutte.
C'est un point brillant qui se voit sur le bain de fusion, probablement le reflet de la pointe de tungstène sur le bain de fusion. Si ce point est fixe, vous ne pénétrez pas, si vous le voyez tourner vous pénétrez.
Merci Tungstène pour ce conseil !
A ce propos, cette fameuse goutte, je vois de ce dont vous parlez et je trouvais cela assez curieux.
Mais avec les réglages ricains, je passe très vite à quelque chose qui semble être l'étape d'après la goutte : le bain redevient très calme (comme avant la phase de la goutte qui tournoie), reprend sa couleur argentée... et là c'est la débandade : trop de pénétration, beaucoup trop !
Le coup du fil posé sur l'axe de la soudure, j'ai vu cela pour du remplissage, mais je m'entraine à la goutte, pas de souci !
Vous préconiseriez également un écartement pour de la 3 et 4mm ?
un écartement peut aider, mais sachez cependant que quand je soudais les réservoirs en alu, du char Leclerc on se les torchait sans écartements alors qu'ils sont en épaisseur 4 mm mais ça c'est après des années et des années à souder beaucoup d'alu. ( Ps et en alu pas de goutte pour guider, il faut guetter quand le bain de fusion " descend " en plus avec l'alu, il y a un gros piège pour faire une pénétration impeccable. Chaque arrêt doit être anticipé et étirer pour faire remonter lentement la pénétration que l'on est en train de faire. C'est le seul moyen lors de la reprise( loin en arrière ) d'avoir ensuite une pénétration bien continue. Car si l'arrêt est brusque l'alumine sur la pénétration empêche que l'envers bien se marie lors de la reprise.
Envoyé par tungstene
un écartement peut aider, mais sachez cependant que quand je soudais les réservoirs en alu, du char Leclerc on se les torchait sans écartements alors qu'ils sont en épaisseur 4 mm mais ça c'est après des années et des années à souder beaucoup d'alu. ( Ps et en alu pas de goutte pour guider, il faut guetter quand le bain de fusion " descend " en plus avec l'alu, il y a un gros piège pour faire une pénétration impeccable. Chaque arrêt doit être anticipé et étirer pour faire remonter lentement la pénétration que l'on est en train de faire. C'est le seul moyen lors de la reprise( loin en arrière ) d'avoir ensuite une pénétration bien continue. Car si l'arrêt est brusque l'alumine sur la pénétration empêche que l'envers bien se marie lors de la reprise.
Oh alors ça c'est génial : j'ai effectivement remarqué ce moment où l'on voit, sur acier, le bain descendre : on voit le bain s'aplatir (il perd son bombé et redevient argenté) et s'affaisser tout à coup d'une fraction de millimètre, avec un petit liseré brillant tout autour de lui.
Or, ce que j'ai compris, et justement je me trompe peut-être, c'est que lorsque cela se produit, il est trop tard : la pénétration est trop importante !
J'essaie donc d'alimenter mon bain juste avant que cela se produise, guêtant les petits mouvements de surface du bain qui semblent précéder ce moment, mais c'est extrêmement subtile. A une micro-seconde près, c'est trop tard : la pénétration est trop importante, l'essentiel de mon métal d'apport passe côté envers, et mon cordon est, au mieux, plat, au pire, concave.
Qu'en dites-vous ? Dois-je en fait attendre cet instant où le bain descend et alimenter et avancer bien plus vite... ou bien alimenter et avancer AVANT que ce la ne se produise ?
Bonjour,
Si vous pouviez éviter de citer systématiquement le texte des messages précédents dans vos réponses, cela rendrait la lecture plus plaisante.
Contentez vous de commencer par "Bonjour xxx" ou "Merci yyy" pour savoir à qui vous répondez.
Merci.
le bain qui " descend" ça c'est sur l'alu, pas pour l'inox ou l'acier. D'ailleurs en alu les pénétrations sont beaucoup plus , si on ne veut pas courir le risque d'avoir des manques.
Alors c'est curieux, parce que j'ai remarqué, sur acier, que, justement, le bain semble tout à coup descendre une fois la température de pénétration atteinte. Il ne descend pas énormément, juste assez pour que l'on voie se dessiner un petit liseré, comme un pli, ou comme une flaque d'eau qui aurait légèrement séché et laissé une trace de boue autour d'elle.
C'est justement cette fameuse descente qui me pose problème : il faut visiblement ne pas alimenter le bain après que cela soit arrive car cela veut dire que c'est trop pénétré et que le métal d'apport ne fera que gonfler plus encore le cordon envers. Et le souci consiste à l'alimenter puis avancer aussitôt juste avant que cela arrive... mais comment déterminer ce moment précis...? La petite bille n'est pas systématiquement présente, et elle est parfois déjà visible avant que la pénétration soit arrivée...
En tous cas c'est ce que j'ai relevé... qu'en pensez-vous ? Comment faire pour savoir à quel moment déposer la goutte de métal d'apport et avancer aussitôt ?
A nouveau merci !
Hello,
Si vous êtes toujours là, sachez que ça y est, j'ai trouvé l'équilibre subtile pour une pénétration complète avec cordon endroit impec !
Cela tenait essentiellement aux incréments de déplacement entre deux touches de métal d'apport, que j’espaçais trop peu, du coup trop de chauffe cumulée, qui faisait trop passer mon bain côté envers . Voici ma recette :
- Pas de chanfrein (bien qu'il s'avère qu'après essais, un chanfrein à 30/60° sans jeu fonctionne finalement plutôt bien)
- Jeu de 1,5mm PRÉCIS. En dessous, une pénétration complète et suivie est très difficile à avoir et conserver, au dessus, une seule passe est limite pour remplir totalement le joint. La précision lors du pointage s'avère vraiment hyper importante, bien davantage qu'en MMA à mon goût.
- Métal d'apport diam. 2,4mm
- Tungstène diam. 2mm affuté en angle moyen
- Argon à 10-11L/mn
- Intensité à 103A
- Arc hyper court (0,5mm à 1mm à vue de nez)
- Suivre la petite bille et alimenter après la phase où le bain semble encore "épais" ou "visqueux" (la pénétration n'est en fait pas encore complète) et avant celle où il devient trop liquide et semble "descendre" (là, la pénétration est trop importante, une trop grande partie du bain est passée côté cordon envers)
- Alimentation à la goutte, tous les 2mm d'après mon pied à coulisse
Après ça, les heures de galère et l'observation que cela m'a demandé, les soudure en angle intérieur et extérieur me semblent ultra-faciles en termes de lecture du bain !
Merci pour vos conseils et à bientôt :)
alors c'est super, et il n'y a pas de secret, il faut s'entraîner en surveillant ce que l'on fait, bref faire comme vous avez fait. A part ça moi les simulateurs de soudage je n'y crois pas trop, il manque le "stess" du soudage, la chaleur l'arc tout ça. D'ailleurs si vous demandez à un non soudeur de vous tenir une pièce délicate à positionner, cela foire à tous les coups, il bouge à l'allumage de l'arc, il n'y a qu'un déjà soudeur qui restera de marbre.
Les simulateurs de soudage... ça existe vraiment ???? (Slt à tous je prends la discussion en route)
les simulateurs c'est juste pour facturer des heures de formations sans avoir de consommables ni de moniteur /formateur à payer
pour en revenir au sujet ,félicitation pour votre persévérance et pour avoir atteint l'objectif fixé
Quelle rigolade, en plus le mec qui démontre il a même oublier de simuler aussi les gants LOL